Toute ressemblance avec une histoire que des connaissances m'auraient raconté est totalement fortuite.
C'est quoi, en fait , l'amour? Le vrai, le pur. Celui ou le contact physique n'est pas nécessaire. Bon nombre de copines m'ont raconté que vers la fin, faire l'amour les lassait. Ce que je ne comprends bien sûr pas, ma plus longue histoire ayant duré quatre semaines et deux jours (et environ trois heures, pour les secondes, comptez pas trop sur moi, quand même). Alors oui c'était de l'amour, mais ça s'est atténué, puis ça a laissé place à du confort, à du dépit, à de la tendresse, à de la nécessité, à de l'ennui. Mais ce n'est pas de celui-ci que je parle. Cet amour là, celui qui s'efface, celui qui selon certains scientifiques dure quelques années, trois tout au plus, c'est le chimique, l'hormonal, celui issu de l'instinct reproducteur, guidé par des yeux complètement illusionnés. Un beau petit miroir aux alouettes auquel nous auront tous droit au moins une fois. En fait, je pense qu'il y a deux amours pures. Mais surtout celui que je connais. Je préférerais mourir que de perdre un de ceux à qui j'ai déjà dit je t'aime. Et c'est fou comme ces petits mots écorchent ma bouche, et fou comme serrer quelqu'un dans mes bras relève de l'effort surhumain parfois. Je ne me suis pas trop dans ce questionnement sur ce que je veux en amour, et non, je formule mal. Si je veux de l'amour, si j'en mérite, et si je sais bien en donner.
Le faire c'est tout autre chose.
J'arrive pas à bien écrire, je n'ai pas d'émotion assez forte là tout de suite.
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